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Et puis, et puis... Il y a la vie qui me dit...
Toujours être ailleurs
Oh chaque nuit se réduire en cendre
Se laisser répandre
Dans les lavabos blancs
La solution est sans doute amère
Si l’on considère
Qu’on ne sait pas où cela mène...
Quelqu’un ici pourrait-il me dire
Quelles sont les raisons qui me poussent ?
Et les yeux vers l’Ouest
Toujours être ailleurs
Et les mains vers l’Est
J’veux toujours être ailleurs.
J’ai la nausée quand je reste assis
Si je suis couché, je n’joins pas les « debouts »
Et si je souris pour le photographe
Qui va nous figer
Notez mon épitaphe
Notez !
Je me sens si bien hier matin
Noirs Désirs
C'est ainsi, en ré-entendant cette chanson que Fred fit son deuil de l'unlimited pour s'engager dans le reloaded.